La tendance « Happy » gagne du terrain en entreprise, dopée par la conviction que des employés heureux sont plus productifs et créatifs. VO sonde ses troupes pour identifier les ingrédients de leur épanouissement. Et les améliorer. Car le bonheur, ça se travaille !
7,3 sur 10. C’est la cote de satisfaction dégagée d’un récent coup de sonde pratiqué auprès des employés de VO Event et VO Citizen sur leur bonheur à y bosser. Un résultat identique à celui exprimé par les Belges dans une enquête Tempo-Team de 2017. Et même supérieur à un plus pessimiste 6,5 sur 10 sorti d’un sondage plus récent pratiqué par le bureau de recrutement Robert Half.
Mais votre agence va creuser plus loin, convaincue que le paradigme du travail articulé entre managers contrôleurs et employés soumis est dépassé. Oui, le bonheur est aussi dans le pré… professionnel. En appuyant là où ça fait du bien. Mais c’est quoi exactement le bonheur au travail et ses leviers ?
Happy culture
Se préoccuper en priorité du bien-être de son personnel connaît un développement concret depuis quelques années. Avec même la création dans certaines entreprises d’un poste de « Chief Happiness Officer » (CHO).
La première CHO en Belgique a été Laurence Vanhée, qui en a fait son « core business ». Devenue consultante-gourou du courant « Happy », elle a su capter l’attention des patrons en martelant que « le bonheur de l’employé est un vecteur de productivité au travail ». Pour cela, l’humain doit être au centre des préoccupations, dans la stratégie et l’organisation. Cette dernière doit être le lieu et la source où l’employé(e) peut puiser les ingrédients de son bonheur et l’énergie de sa performance au service de l’entreprise.
Pour y arriver, ces techniques sont éprouvées :
- donner plus de liberté et d’autonomie (en temps, lieux, rôles et outils) à l’employé ;
- encourager les interactions sociales en interne par des activités : sorties en groupe, activités de détentes (zoumba, yoga, workshop wellness…) ;
- écouter et rencontrer les souhaits exprimés (« silent zones », homeworking…) ;
- pratiquer un management à l’écoute et capable de reconnaissance/valorisation de l’apport du personnel.
Des axes auxquels s’ajoutent une culture d’entreprise mixant transparence, notion de mission, empathie, confiance réciproque, cohésion, respect, épanouissement, audace, authenticité…
Des études en attestent : l’employé acteur de son propre bonheur, plus impliqué et plus responsabilisé se montre plus productif, créatif. Avec pour effet bénéfique que ce bien-être diminue l’absentéisme, fidélise le personnel, prévient les maladies liées au stress ou favorise sa résilience. Bref, un remède aux burn out et bore out.
Baromètre de bonheur chez VO
Une enquête épingle le secteur « média/communication/presse/événementiel » comme particulièrement générateur de stress.
C’est pourquoi notre agence se donne un an pour cerner précisément le ressenti et les attentes de notre équipe sur sa conception du bonheur au travail. Puis pour déployer les moyens pertinents pour l’améliorer et hisser la cote de satisfaction au-delà des 7,3 sur 10 déjà exprimés.
Tous les collaborateurs de VO sont invités à participer à un baromètre détaillée pour donner, anonymement, leurs avis sur quatre axes centraux :
- les interactions sociales au sein de VO ;
- le management actuel et les moyens de l’améliorer ;
- l’organisation et le sens du travail pour chacun ;
- la culture d’entreprise de VO, ses valeurs, son avenir, l’envie d’y travailler…
Car pour vivre heureux, bossons soudés.